Au XVIIe siècle, à la fin de la dynastie Ming – époque de bouillonnement et de bouleversement, où l’Occident même était présent avec la venue des premiers missionnaires jésuites en Chine -, dans un monastère de haute montagne, un homme qui n’a pas encore prononcé ses voeux se décide à quitter ce lieu de paix et de silence pour retrouver, trente ans plus tard, la seule femme qu’il n’ait jamais aimée.
Un roman d’envoûtement et de vérité, récit d’une passion – celle d’un Tristan et Iseult chinois, avec ses codes et ses interdits aussi précis que stricts – qui n’est pas seulement affaire de coeur et des sens, mais engage toute la dimension spirituelle de l’être, ouvrant sur le mystère de l’univers et le transfigurant.
De François Cheng de l’Académie française.
Tiens, cela me donne l’envie d’aller jeter un oeil dans ces pages là…!